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de jours après, la démission de M. Torrès-Bodet,
directeur général
de l’Unesco, ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien
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de jours après, la démission de M. Torres Bodet,
directeur général
de l’Unesco, ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien
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ment autonomes, mais le Conseil fédéral nomme son
directeur général
, qui possède un droit de censure sur les programmes, tandis que l’adm
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ment autonomes, mais le Conseil fédéral nomme son
directeur général
, tandis que l’administration relève des PTT, donc de l’État. Ce régim
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ondateurs du club de Rome, Alexander King, ancien
directeur général
des affaires scientifiques de l’OCDE, confesse qu’il n’accorde plus a
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Conférence générale de l’Unesco qui autorise son
directeur général
« à aider et à encourager la formation et l’organisation de centres r
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oratoires internationaux. Enfin, M. Torrès-Bodet,
directeur général
de l’Unesco vient d’appuyer de son autorité personnelle ce projet de
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de l’Unesco. Cette résolution précise que : « le
directeur général
(de l’Unesco) est autorisé à : faciliter et encourager la création et
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n de la Commission comme représentant officiel du
directeur général
de l’Unesco M. Torrès-Bodet, qui l’a prié : 1. d’obtenir des conseils
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uger précise qu’il préparera pour la signature du
directeur général
de l’Unesco une lettre demandant aux gouvernements dont la participat
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ce de Lausanne et par le CEC. Le 16 août 1957, le
directeur général
du CERN, professeur C. J. Bakker, peut annoncer que « le Synchrocyclo
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2.21, adoptée à la quasi-unanimité, autorisait le
directeur général
à assister et encourager la formation et l’organisation de centres et
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un pays isolé serait insuffisant. Dans ce but, le
directeur général
est autorisé à étudier les besoins et les possibilités de tels centre
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Le rôle décisif concédé par les États membres au
directeur général
paraît exemplaire. Mais cette condition d’indépendance et d’efficacit
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e nos membres, M. Marcel van Zeeland, est premier
directeur général
. Sont étudiés les problèmes posés par le nom, le siège, la structure
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Enfin, l’aveu complet tombe de la bouche même du
directeur général
d’EDF : Nous avons reçu mission (de l’État) — dès cette époque (fin
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n quasi militaire » (selon les propres paroles du
directeur général
de Framatome, l’organisme qui assure en France la construction des ré
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ation, la science et la culture, Wladimir Porché,
directeur général
de la Radiodiffusion française, Maurice Rolland, avocat général, Géra
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de « crime énergétique ». 12. Cf. l’interview du
directeur général
d’Électricité de France (EDF) publiée par Le Monde du 24 janvier 1975
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militaire. » Déclaration de M. Jean-Claude Leny,
directeur général
de « Framatome », société qui assure en France la construction des ce
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chargé de construire Superphénix), en même temps
directeur général
de Framatome, société chargée de la construction pour toute la France
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ique Investir, en mars 1975, M. Jean-Claude Leny,
directeur général
de Framatome, qui assure la maîtrise d’œuvre de tous les réacteurs fr