1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
1 de jours après, la démission de M. Torrès-Bodet, directeur général de l’Unesco, ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien
2 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
2 de jours après, la démission de M. Torres Bodet, directeur général de l’Unesco, ne révèle certes pas une crise de la culture, mais bien
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
3 ment autonomes, mais le Conseil fédéral nomme son directeur général , qui possède un droit de censure sur les programmes, tandis que l’adm
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
4 ment autonomes, mais le Conseil fédéral nomme son directeur général , tandis que l’administration relève des PTT, donc de l’État. Ce régim
5 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
5 ondateurs du club de Rome, Alexander King, ancien directeur général des affaires scientifiques de l’OCDE, confesse qu’il n’accorde plus a
6 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
6 Conférence générale de l’Unesco qui autorise son directeur général « à aider et à encourager la formation et l’organisation de centres r
7 oratoires internationaux. Enfin, M. Torrès-Bodet, directeur général de l’Unesco vient d’appuyer de son autorité personnelle ce projet de
8 de l’Unesco. Cette résolution précise que : « le directeur général (de l’Unesco) est autorisé à : faciliter et encourager la création et
9 n de la Commission comme représentant officiel du directeur général de l’Unesco M. Torrès-Bodet, qui l’a prié : 1. d’obtenir des conseils
10 uger précise qu’il préparera pour la signature du directeur général de l’Unesco une lettre demandant aux gouvernements dont la participat
11 ce de Lausanne et par le CEC. Le 16 août 1957, le directeur général du CERN, professeur C. J. Bakker, peut annoncer que « le Synchrocyclo
12 2.21, adoptée à la quasi-unanimité, autorisait le directeur général à assister et encourager la formation et l’organisation de centres et
13 un pays isolé serait insuffisant. Dans ce but, le directeur général est autorisé à étudier les besoins et les possibilités de tels centre
14 Le rôle décisif concédé par les États membres au directeur général paraît exemplaire. Mais cette condition d’indépendance et d’efficacit
7 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. II. Les débuts de la Fondation européenne de la culture
15 e nos membres, M. Marcel van Zeeland, est premier directeur général . Sont étudiés les problèmes posés par le nom, le siège, la structure
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
16 Enfin, l’aveu complet tombe de la bouche même du directeur général d’EDF : Nous avons reçu mission (de l’État) — dès cette époque (fin
9 1978, Articles divers (1978-1981). Le choix du siècle (novembre 1978)
17 n quasi militaire » (selon les propres paroles du directeur général de Framatome, l’organisme qui assure en France la construction des ré
10 1979, Cadmos, articles (1978–1986). L’Europe comme invention de la culture (automne 1979)
18 ation, la science et la culture, Wladimir Porché, directeur général de la Radiodiffusion française, Maurice Rolland, avocat général, Géra
11 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’énergie
19 de « crime énergétique ». 12. Cf. l’interview du directeur général d’Électricité de France (EDF) publiée par Le Monde du 24 janvier 1975
20 militaire. » Déclaration de M. Jean-Claude Leny, directeur général de « Framatome », société qui assure en France la construction des ce
12 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
21 chargé de construire Superphénix), en même temps directeur général de Framatome, société chargée de la construction pour toute la France
13 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
22 ique Investir, en mars 1975, M. Jean-Claude Leny, directeur général de Framatome, qui assure la maîtrise d’œuvre de tous les réacteurs fr